AMAN COLLEGE OF SCIENCE AND TECHNOLOGY

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Peu importe l’age en personne abusee, une agression sexuelle reste i  chaque fois terrible, mais c’est particulierement revoltant d’imaginer que des adultes en position de pouvoir posent des actions degradantes et traumatisantes via des jeunes sans defense.

Peu importe l’age en personne abusee, une agression sexuelle reste i  chaque fois terrible, mais c’est particulierement revoltant d’imaginer que des adultes en position de pouvoir posent des actions degradantes et traumatisantes via des jeunes sans defense.

Nous avons tendance a croire que nous connaissons assez des bambins pour reperer tout changement dans leur comportement. Et pourtant, de multiples adultes, abuses pendant l’enfance, affirment que leurs parents n’ont pas grand chose decouvert. Est-il vraiment possible de deceler chez les enfants des signes de violence sexuelle? Existe-t-il des comportements qui doivent nous mettre la puce a l’oreille?

Mes chiffres

Les informations sont claires : environ 5000 personnes ont declare etre victimes d’agression sexuelle au Quebec, en 2011 seulement. Ca inclut des personnes de tous ages, de tout milieu social, des deux sexes et te prend en compte chacune des formes d’agressions enregistrees par la loi (contacts, incitations, relations non consenties, exhibitionnisme, voyeurisme, inceste, intimidation par PC, etc.) A votre chiffre deja exorbitant s’ajoutent plusieurs donnees inquietantes :

Est-il possible de remarquer quelque chose d’inhabituel?

Quelques etudes scientifiques ont enfile en lumiere une serie de signes et symptomes physiques et psychologiques qui devraient aider les adultes (parents, professeurs, intervenants) a deceler un comportement anormal chez les bambins dont ils ont la responsabilite.

Pourtant, trop souvent, on ne voit rien, et les jeunes souffrent en silence sans jamais oser parler. Quelques raisons vont pouvoir expliquer pourquoi on ne remarque rien :

Di?s que s’inquieter?

Il est quelques signes physiques et psychologiques qui devraient alerter nos adultes responsables. En voici une liste non exhaustive :

Changements en comportements

Quelques signes physiques qu’il ne faudrait jamais negliger

Comment reagir si l’on a des doutes?

En tant que parents, nous voulons forcement le meilleur Afin de nos bambins et devenons fous a la seule initiative que un quidam nos touche. Parfois, il n’y a aucun doute possible et tout prouve que notre enfant a bel et bien subi des agressions d’ordre sexuel. Il semble donc possible, ainsi, meme obligatoire, de porter plainte et d’entamer des procedures judiciaires. En ce cas, on doit communiquer avec la Surete du Quebec.

Malheureusement, le moins rarement, les actes sont invisibles et il va i?tre impossible de devenir certain a 100 % de cela arrive parce que l’enfant ne parle gui?re et que l’immense majorite des signes decrits ci-dessus vont pouvoir etre causes avec autre chose.

Selon la loi, toute personne (parent, tuteur, intervenant, professeur) qui soupconne qu’un enfant a subi une ou des agressions sexuelles est tenue d’aviser le directeur d’une protection en jeunesse (DPJ), lequel menera l’enquete et avisera la police, si necessaire.

Prevention

Meme s’ils nous mettent en gali?re a l’aise, on doit aborder ces themes avec nos jeunes, en utilisant des mots qu’ils comprennent, adaptes a un age. Bien sur, tous les parents avisent leurs jeunes de sauter par-dessus ici ne point parler aux inconnus dans la rue ainsi que ne pas accepter de cadeaux ou bonbons de ces personnes. Mais tel nous venons de le voir, le danger se trouve souvent dans l’entourage meme de l’enfant : amis, membres de la famille, coloc’, entraineurs sportifs, ou aussi professeurs. Pour le cas, comment pouvons-nous agir?

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